Donilon donne quatre lignes directives : "Tout d'abord, la révolte arabe est un événement 'historique', comparable à la chute de l'empire ottoman ou de la décolonisation du Moyen Orient post-1945 ; deuxièmement, 'aucun pays n'est immunisé' contre le changement ; troisièmement, la révolution a des 'origines profondes' liées à une mauvaise gouvernance, à la démographie et aux nouvelles technologies de communication ; et quatrièmement, 'ces événements sont locaux' et ne peuvent être dictés par l'Amérique, l'Iran et d'autres puissances puissances extérieures."
mercredi 27 avril 2011
Un bon cadre de pensée pour aborder les révoltes arabes
David Ignatius du Washington Post consacre son dernier édito à Tom Donilon, le conseiller en sécurité nationale de Barack Obama. Dans un entretien accordé au journaliste, Donilon explique le cadre de pensée que l'administration américaine a adopté pour aborder les révoltes arabes :
Libellés :
etats-unis,
moyen-orient
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire