Reuters a glissé des questions au leader palestinien emprisonné Marwan Barghouti par l'intermédiaire de ses avocats. Il appelle à "un mélange constructif de négociations, de résistance et d'actions politiques, diplomatiques et populaires".
Concernant la possibilité qu'il se présente comme prochain président, il reste prudent et ne le ferait que s'il y avait une réconciliation entre Fatah et Hamas. C'est une bonne stratégie pour lui, car cela le protège de toutes les éventuelles retombées négatives de ces interminables négociations et le présenterait comme le seul capable de maintenir un accord qu'on imaginerait fragile entre les deux factions palestiniennes.
Bien entendu, purgeant une peine à perpétuité, cela ne pourrait se faire que dans le cadre d'un échange de prisonniers, qui n'est pas inimaginable, mais dont les tractations doivent extrêmement complexes.
jeudi 19 novembre 2009
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